Le projet Real Steel 2 existe toujours

Alors que Real Steel n'était toujours pas sorti en salles, une suite avait déjà été annoncée. Trois ans plus tard, celle-ci n'a toujours pas pointé le bout de sa pellicule.

En 2011, Hugh Jackman jouait dans Real Steel, le film de Shawn Levy qui avait reçu de bonnes critiques et réussi une exploitation plus que correcte en collectant 300 millions de dollars dans les salles obscures autour du monde. De quoi conforter DreamWorks de donner une suite à ce film qui présentait un boxeur sur le déclin renouant avec le succès en entrainant le robot de combat de son fils.

La principale raison au fait que la suite ne soit toujours pas d'actualité est que Jackman tout comme Levy ont eu des agendas serrés depuis lors. L'acteur ayant entre autres complété le tournage de deux films X-Men, tandis que le réalisateur finissait plusieurs long-métrages, dont le prochain La Nuit au Musée qui sort cet hiver.

Pour autant, cela ne signifie pas que la suite a été abandonnée, Shawn Levy ayant confirmé lors d'une interview accordée à Coming Soon que lui, tout comme l'acteur australien, travaillait toujours sur la suite et que le scénario de celle-ci, écrit par John Gatins (qui avait été nominé aux Oscars pour Flight) étant même complété. Le problème est que l'interprète de Wolverine est un homme très demandé et qu'entre X-Men : Apocalypse et le prochain film sur le mutant griffu, ils ne pourront pas lancer le tournage avant un moment. Ce qui va finir par être incompatible avec l'âge de Dakota Goyo qui interprète le fils de Hugh Jackman à l'écran. Reste à voir donc comment le scénario prendra ce dernier point en considération.

Source: SyFantasy

j'avais vraiment pas accroché au premier...

Moi au contraire j'avais beaucoup aimé, je me souviens avoir passé un bon moment et ne pas m'être fait chier du tout. Mais faudrait que je le revois pour être sur de mon opinion car ça fait un petit moment et je ne l'ai vu qu'une seule fois.

J'ai bien aimé aussi le film, un subtile mélange de Rocky et de Transformers mais les bons côtés de ses sagas : les machines bien foutues, la complicité homme-machine et la volonté de vaincre sans abandonner